« Merpacífico », une entreprise qui promet les meilleurs produits de la mer, est une réalité à Palencia. Le célèbre homme d’affaires Conrado Merino, président de la Chambre de Commerce et promoteur de Viveros Merimar, est à l’origine d’un projet qui a nécessité un investissement de 17 millions d’euros et qui a pour objectif d’atteindre environ 200 salariés. Actuellement, elle fonctionne à 30 pour cent et emploie 60 salariés. « Ce gamin qui a commencé à livrer du poisson autour de Palencia avec une Renault 6 », comme se définit Conrado Merino lui-même, est à la tête d’un macro-projet qui exporte déjà en Corée, au Japon, en Chine, aux États-Unis, au Canada, en Australie et en Italie. , en plus d’ouvrir des succursales en Andalousie et, bientôt, à Valence et à Madrid.

Merpacífico se définit comme « une entreprise leader dans le domaine des produits de la mer, engagée dans la durabilité et le respect de l’environnement. L’accent mis sur l’excellence en matière de gestion et de service à la clientèle nous distingue ».

Dans les années 80, Conrado Merino Inyesto reprend l’ancienne entreprise familiale, une poissonnerie installée sur la Plaza de Abastos à Palencia. Petit à petit, le commerce traditionnel commence à se développer, commençant à apporter des fruits de mer vivants et à les distribuer aux restaurants de la région.

En 1991, il fonde l’entreprise VIVEROS MERIMAR SL, dédiée au commerce de gros de poissons et fruits de mer. En 2005, cette entreprise débute la production et la commercialisation de poulpe cuit.

« En 2011, nous avons commencé à importer la principale matière première du processus de production (poulpe cru congelé) des principales zones de pêche de cet article (Maroc, Mauritanie, …). Cela a fait de VIVEROS MERIMAR SL l’un des principaux acteurs du secteur. poulpe en Espagne. En décembre 2020, il s’est départi de sa participation dans Viveros Merimar, après une opération d’entreprise avec le groupe Angulas Aguinaga. En janvier 2023, il entame une nouvelle carrière à la tête de Merpacífico, étant un projet avec la même illusion qu’il y a 40 ans, en profitant du savoir-faire de toutes ses réussites commerciales », se souvient l’homme d’affaires.

Ce qu’il regrette, c’est que les aides ne viennent pas pour des projets comme le sien et qu’ils investissent dans d’autres grandes entreprises, principalement dans le secteur automobile. Ce regret vient du fait qu’on lui a refusé une subvention et qu’il en attend pour le moment une autre, comme il l’a déclaré à Radio Palencia de Cadena SER.